HRM-BULULU1
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439 Canetti, Crowds and Power, pages 141-42.

440 Le Coran, sourate Al-Baqara, verset 25.

441 Le Coran, sourate Al-Baqara, verset 42.

442 Le Coran, sourate Al-Baqara, verset 83.

443 Un ecclésiastique musulman a cinq niveaux à passer au cours de sa carrière. Il commence comme talib ilm : étudiant. Puis il devient mujitahid : personne capable d'avoir une opinion. Puis un mubelleg al-risala : « un porteur de message »  al-Islam : « une autorité de l'Islam » et un Ayatollah : un « signe de Dieu ». Le dernier niveau de l'autorité est l'Ayatollah al-uzma : « grand signe de Dieu » (Heikal, Return of the Ayatollah, page 83).

444 Khomeyni, Sayings of the Ayatollah Khomeini, page 4. Pour des déclarations semblables à celles-ci et aux suivantes, cf. Ruhollah Khomeyni, Islam and Revolution, pages 34, 48, 286, 287 et 327. Cf. également Shaul Bakash, The Reign of the Ayatollahs, page 234.

445 Khomeyni, Sayings of the Ayatollah Khomeini, page 26.

446 Khomeyni, Sayings of the Ayatollah Khomeini, page 51. Certains intellectuels islamiques occidentaux sont résolus à « corriger » ce qu'ils perçoivent comme une image négative imméritée de l'Islam. Ils affirment que ceux qui « croient aux partenaires de Dieu » et qui sont si souvent maudits par Mahomet sont des « païens » et non des Chrétiens. Ces savants soulignent avec raison que le Coran dit, « Ceux qui ont cru, ceux qui se sont judaïsés, les Nazaréens, et les Sabéens, quiconque d'entre eux a cru en Allah, au Jour dernier et accompli de bonnes oeuvres, sera récompensé par son Seigneur ; il n'éprouvera aucune crainte et il ne sera jamais affligé. » (sourate Al-Baqara, verset 62). Les apologistes ignorent donc littéralement des dizaines de passages tels que les suivants : « Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse! » (sourate At-Tauba, verset 30)  pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens. Allah ne guide certes pas les gens injustes. » (sourate Al-Maida, verset 51). Plus important encore, le Coran est explicite dans sa déclaration selon laquelle les Chrétiens sont, en effet, « ceux qui croient aux partenaires de Dieu » : « Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent : "En vérité, Allah c'est le Messie, fils de Marie." Alors que le Messie a dit : "Ô enfants d'Israël, adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur". Quiconque associe à Allah (d'autres divinités) Allah lui interdit le Paradis et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de sauveurs ! » (sourate Al-Maida, verset 72). Egalement : « Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent : "En vérité, Allah est le troisième de trois." Alors qu'il n'y a de divinité qu'Une Divinité Unique ! Et s'ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d'entre eux. » (sourate Al-Maida, verset 73).

447 Akash, Reign of the Ayatollahs, page 233. Comme le dit R. K. Ramazani, titulaire de la chaire de professeur de gouvernement et d'affaires étrangères d'Harry Flood Byrd Jr. à la University of Virginia, « Khomeyni croit que l'exportation de la révolution est obligatoire » dans l'intérêt d'« un vaste concept d'ordre mondial islamique. » Ramazani souligne que Khomeyni « rejetait l'idée même de cité [séculaire, non islamique]. En d'autres termes, dans l'ordre islamique idéal de Khomeyni il n'y aura pas de place pour le système international séculière moderne. » Khomeyni, selon les termes de Ramazani, pensait « que l'Iran est la seule nation qualifiée pour ouvrir la voie à la fondation suprême d'un gouvernement mondial. Selon les termes de Khomeyni, ' la nation iranienne doit acquérir du pouvoir et de la volonté jusqu'à ce qu'elle ait apporté l'Islam au monde entier' » (Ramazani, Revolutionary Iran, pages 20-24).

448 Khomeyni, Islam and Revolution, pages 35 et 219. Le point de vue de Khomeyni concernant le Christ sera sans doute plus clair si vous savez que la doctrine islamique standard affirme que l'Ancien et le Nouveau Testament sont de vicieuses corruptions de la parole de Dieu, et que ces perversions ont été plus tard « corrigées » par le Coran.

449 Indyk, « Watershed in the Middle East », page 70. Pour plus d'informations concernant la progression du fondamentalisme islamique, cf. « Islam Resumes Its March », des rédacteurs de The Economist, réimprimé dans le National Times, mai 1992, page 9.

450 Esposito, The Islamic Threat, page 8.

451 Platlea, « Islamic Fever », page 34 et « The Fight for African Souls ».

452 Danziger, Himelfar et Weisenberg, « Schwarz 'Optimistic' on South Africa's Prospects ».

453 Robert R. McMillan, éditeur du Long Island Economic Times, « Do You Have a Stamp of Israel in Your Passport ? » Caucus Current, mai 1992, page 28.

454 Andrew Giarelli, « Regional Reports: Asia/Pacific ». La région du Xinjiang commande environ un sixième du territoire chinois et est la source de la majeure partie du pétrole et des métaux précieux du pays. Au dix-neuvième siècle, des révoltes musulmanes dévastèrent le Xinjiang et le Yunnan. La révolte du Xinjiang de 1875 arracha temporairement la province au contrôle de la Chine. La révolte du Xinjiang, qui dura dix-huit ans, causa la mort d'un million de personnes et le quasi-dépeuplement des principales villes du territoire (Eberhard, History of China, pages 301 et 304 et Anderson, Food of China, page 131). A la fin des années 1980, malgré les politiques répressives du gouvernement communiste chinois, les chefs religieux islamiques du Xinjiang, inspirés par Téhéran, défiaient à nouveau « l'autorité de l'état séculier » (Delphs, « China's Unruly Minorities », page 40). Et dans les années 1990, les choses avaient empiré.

455 Sumit Ganguly, « Avoiding War in Kashmir ».

456 Esposito, Islamic Threat, pages 11, 12, 23, 203 et 206 et « Spread of Islamic Rules ».

457 Shelby, « Secessions ».

458 Holmes, « Iran's Shadow ».

459 Selon l'Organisation Internationale du Travail des Nations Unies, des milices islamiques lourdement armées envoient des Soudanais noirs dans des camps de travaux agricoles forcés, puis envoient les femmes séduisantes et les enfants au nord, attachés les uns aux autres par des cordes autour du cou, pour devenir des gouvernantes et des concubines forcées. Pendant ce temps, les activités du Soudan ne sont pas révélées dans les médias américains grâce à des efforts onéreux du groupe de pression qu'est la firme Pagonis & Donnelly à Washington (Ward Johnson, « Sudanese Government Wars with Populace », New York Times, 3 avril 1993, page 22).

460 Makram Muhammad Ahmed, « Algeria at the Brink »  Jacques Girardon, « A Veiled Future for Algeria » et « Will Algeria Become a Second Iran? »

461 Stanley Reed, « Jordan and the Gulf Crisis », page 28.

462 Marr, « The Islamic Revival », page 37.

463 Kraven, « The Real Face of Kuwait ».

464 McKenna, « The Subcontinental Blues ».

465 Onaran, « Islamic Revival in Central Asia ».

466 Alan Riding « France, Reversing Course, Fights Immigrants Refusal to Be French », New York Times, 5 décembre 1993, pages 1 et 14. « Les jeunes gens étrangers, qui sentent fortement qu'ils n'ont pas trouvé de place dans la société française, sont les principales cibles du recrutement des fondamentalistes islamiques. 'Je m'inquiète au sujet des fondamentalistes parce que la police ne va plus dans les banlieues où règnent le crime et la drogue', explique Amina [chanteuse française d'origine tunisienne]. »

467 « Le fondamentalisme dans les Balkans constitue une menace directe contre la paix européenne » (Varitsiotes, « Security in the Mediterranean and the Balkans »). Varitsiotes est le ministre de la défense de la Grèce. Pour l'histoire de l'Islam dans les Balkans, cf. Dvornik, The Slavs in European History and Civilization, et Zivojinovic, « Islam in the Balkans ». Dragoljub R. Zivojinovic, professeur d'histoire à l'Université de Belgrade, affirme que « les ambitions des mouvements islamiques dans les Balkans, notamment en Bosnie-Herzégovine, menacent la stabilité européenne et même mondiale. » Zivojinovic essaie de démontrer que les deux livres du président bosniaque Alija Izetbegovic, Islamska deklaracia et Islam between East and West, sont « un exposé de l'essence politique du fondamentalisme et de sa conception du monde , une invitation à tous les Musulmans du monde à se réveiller et à se lever afin d'accomplir un devoir historique pour lequel ils sont prédestinés. » Zivojinovic pense que les déclarations expansionnistes d'Izetbegovic sont « proches des idées de l'Ayatollah Khomeyni »

468 Pour en savoir plus sur la menace grandissante que représente l'Islam, cf. Krauthammer, « The Unipolar Moment » et Tim Weiner, « Blowback from the Afghan Battlefield », New York Times Magazine, 13 mars 1994, pages 53-55. Et pour l'adhésion presque universelle du monde islamique à un fondamentalisme largement teinté de haine envers les Etats-Unis après la guerre américano-iraquienne de 1991, cf. Ahmad, « A Tug Of War for Muslim's Allegiance ».

469 L'Islam est la religion dont l'expansion est la plus rapide dans la communauté afro-américaine, avec plus d'un million d'adeptes noirs Américains (Goldman, « Mainstream Islam Rapidly Embraced by Black Americans »). Des fonds en provenance de pays tels que l'Iran, la Libye et l'Arabie Saoudite ont rendu possible une grande partie de cette expansion. En 1977, par exemple, trois princes saoudiens décidèrent de verser cinquante millions de dollars dans les quartiers noirs américains avec une contrepartie. Lorsque l'Arabie Saoudite finança une Black American Business Conference au Century Plaza Hotel de Los Angeles en 1979, Gerald E. Gray, patron de la Pan American Steel Corporation, donna ce conseil aux six cents entrepreneurs afro-américains rassemblés pour l'occasion : pour obtenir plus d'argent des Arabes, dit-il, les noirs doivent « établir des relations non économiques [avec les intérêts islamiques]. Lorsque les Arabes tentèrent de boycotter des sociétés, nous n'avons rien dit pour les soutenir. Lorsque les Arabes ont été accusés de créer l'inflation en augmentant le prix du pétrole, nous avons eu une chance d'exprimer clairement leur position. Nous allons devoir être leur voix dans ce pays si nous voulons qu'ils prennent part à nos affaires » (Emerson, The American House of Saud, pages 73-74). Pour une indication de la manière dont les groupes islamiques ont franchi les barrières érigées entre l'Eglise et l'état pour mettre en place des « programmes culturels islamiques » dans les écoles secondaires publiques des quartiers défavorisés, cf. Michael Daly, « Pal Saw the Route of All Evil in Sheik », New York Daily News, 23 mars 1993, pages 8 et 18.

470 Barsky, Al-Fuqra: Holy Warriors of Terrorism, page 1.

471 Michel, « Allah's G.I.s ».

472 Darlow, Sword of Islam.

473 Olmert, Islam.

474 Pour en savoir plus sur les incursions iraniennes dans les Républiques d'Asie Centrale, cf. Olcott, « Central Asia's Catapult to Independence », page 108  Wright, « Islam, Democracy and the West »  LeCompte « Communism Confronts Islam »  Rumer et Rumer, « Who Will Be the Next Yugoslavia? » page 37  page 50 et Siddiqui, « The Scramble for Central Asia ».

475 Curtin, Cross-Cultural Trade in World History, page 107.

476 Telhami, « Arab Public Opinion and the Gulf War », page 443.

477 Mackenzie, « Pitfalls in Policy on the Path to Kabul », page 11.

478 Draper, « Visions of Turkey ».

479 Darlow, Sword of Islam.

480 Olmert, Islam.

481 Olmert, Islam.

482 Kanan Makiya, Cruelty and Silence. Notez également la déclaration suivante de Hisham Sharabi, professeur d'histoire intellectuelle européenne et titulaire de la chaire de professeur de culture arabe d'Omar al-Mukhtar, à la Georgetown University, l'une des communautés de leaders intellectuels laïques les plus influentes de la communauté arabo-américaine : « L'opposition des séculiers au fondamentalisme islamique ne fait pas d'eux, comme les observateurs occidentaux semblent le penser, des alliés potentiellement objectif de l'Occident dans sa lutte contre le fondamentalisme islamique. Selon le point de vue séculier, l'hostilité des Occidentaux envers le fondamentalisme islamique, tout comme son hostilité envers le nationalisme arabe, découle d'intérêts impérialistes et d'objectifs hégémoniques que les intellectuels séculiers tout comme les fondamentalistes musulmans s'engagent totalement à combattre » (Sharabi, « Modernity and Islamic Revival »).

483 Darlow, Sword of Islam. Cet extraordinaire documentaire, l'un des rares à avoir examiné le monde hostile des fondamentalistes islamiques, est le résultat de dix-huit mois d'enquête à Beyrouth, au Caire et en Iran.

484 Aziz Said, « Islamic Fundamentalism and the West ».

485 Esposito, Islamic Threat, pages 173 et 181.

486 Edward W. Said, « The Phony Islamic Threat », page 62.

487 Esposito, Islamic Threat, page 171.

488 Marr, « The Islamic Revival », pages 37 et 43-44.

489 Hamdani, « Islamic Fundamentalism », pages 38 et 44.

490 Khomeyni, Sayings of the Ayatollah Khomeyni, pages 3-7, 27-28 et 31.

491 Dès 1983, la Chine a vendu aux Pakistanais musulmans la technologie permettant de construire des bombes atomiques de la taille d'un ballon de football. Le Pakistan, en échange, a construit les installations permettant de produire ces armes en masse et s'équipa de missiles balistiques pour les envoyer (John Dikkenburg, « 'Supermarket' in the Pacific »). En 1993, il y avait des programmes actifs de développement d'armes nucléaires en Irak, en Iran, en Libye et dans d'autres états islamiques. Selon Samuel P. Huntington de la Harvard University, « un fonctionnaire iranien haut-placé a déclaré que tous les états musulmans devraient acquérir des armes nucléaires » (Huntington, « The Clash of Civilizations? »).

492 Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Lectures on the Philosophy of World History, trad. H. B. Nisbet (Londres: Cambridge University Press, 1975), page 166.

493 Cité dans Tom Buckley, Violent Neighbors: El Salvador, Central America and the United States (New York : Times Books, 1984), page 39.

494 Bien que les Etats-Unis se soient battus contre le Mexique en 1846, leurs implications impérialistes en Amérique Latine ne se développèrent pas avant la fin du dix-neuvième siècle. Le premier symbole des intérêts américains en Amérique du Sud fut la United Fruit Company, qui devint célèbre pour ses ingérences dans la politique des « républiques bananières ». En 1890, la United Fruit (alors appelée la Boston Fruit Company) n'était encore qu'une entreprise débutante qui envoyait une poignée d'employés de commerce en Jamaïque. En 1899, J. P. Morgan fit fusionner la Boston Fruit avec d'autres sociétés plus petites, défricher et assécher un demi-million d'hectares de terres d'Amérique Centrale, et lança la machine économique géante que les Sud-Américains adoreraient bientôt détester (Buckley, Violent Neighbors, pages 226-27).

495 Pour une tentative d'explication des origines historiques de la culture de la violence sud-américaine, cf. Lawrence E. Harrison, Underdevelopment Is A State of Mind: The Latin American Case, Center for International Affairs, Harvard University (Lanham, Md. : Madison Books, 1988).

496 Ken C. Kotecha et Robert W. Adams, The Corruption of Power: African Politics (Washington, D.C.: University Press of America, 1981).

497 Pour une brillante description de l'Afrique moderne, de sa violence, et de son agitation politique et économique, cf. David Lamb, The Africans, Encounters from the Sudan to the Cape.

498 « Huge Death Toll Feared in Burundi », New York Times, 28 novembre 1993.

499 La déclaration de Mooney apparaît dans une description du Mouvement de la danse de l'esprit, une secte qui a brièvement défié la tradition indienne de violence et a rejeté la guerre (James Mooney, The Ghost-Dance Religion and the Sioux Outbreak of 1890 [Chicago : University of Chicago Press, 1965], page 25 [Publié initialement dans le Fourteenth Annual Report of the Bureau of Ethnology to the Secretary of the Smithsonian Institution, 1892-93]). Thomas Jefferson rédigea une fougueuse défense des Indiens basée sur ses observations de première main, extrêmement méthodiques (parmi les nombreuses réalisations de Jefferson se trouve une analyse détaillée des relations structurelles entre les langues amérindiennes). L'une des critiques que Jefferson visait était l'accusation selon laquelle les Indiens « n'ont pas d'ardeur vis-à-vis de leurs femmes ». Voici la réponse du père fondateur : « Il est vrai qu'ils [les Indiens] ne s'abandonnent pas à ces excès ni ne découvrent l'affection qui est habituelle en Europe  mais cela n'est pas dû à un défaut de la nature mais à des manières. Leur âme est entièrement consacrée à la guerre » (de Thomas Jefferson, Notes on Virginia, cité dans Daniel J. Boorstin, Hidden History [New York : Harper & Row, Cornelia and Michael Bessie Book, 1987], page 117). Plus récemment, des anthropologues étudiant les Indiens Kwakiutl du Nord-Ouest du Pacifique ont découvert que ces habitants des côtes menaient des guerres organisées destinées à exterminer ou à réduire en esclavage les clans rivaux. Seul l'arrivée de l'homme blanc les poussa à arrêter (A. W. Johnson et Earle, Evolution of Human Societies, page 164). Pour une description de la joie que procure le fait de tuer aux Indiens des Plaines, cf. Benedict, Patterns of Culture, page 106.

500 Sans parler des massacres permanents en Algérie et de ce qui se passe au Taliban. N de l'Editeur.

501 William James, Will, Emotion Instinct and Life's Ideals, Halvorson Dixit Recording (Newport Beach, Calif. : Books on Tape).

502 Judith Hopper et Dick Teresi, « Sex and Violence », Penthouse USA, février 1987, page 42. L'exemple classique de ce principe est le contraste entre les Arapesh et les Mundugamor de Nouvelle Guinée mis en avant par Margaret Mead. Cf. Margaret Mead, Male and Female: A Study of the Sexes in a Changing World (1949  1968), pages 76-77, 86-88, 117 et 134-35. Cf. également le résumé des découvertes de Mead dans Hays, From Ape to Angel, page 347.

* Programme de Biologie du Développement de l'Institut National de la Santé des Enfants et du Développement Humain.

503 Halim Barakat, « The Arab Family and the Challenge of Social Transformation », dans Women and Family in the Middle East: New Voices of Change, éd. Elizabeth Warnock Fernea (Austin, Tex. : University of Texas Press, 1985), pages 27, 31, 32, 37 et 44.

504 Juliette Minces, The House of Obedience: Women in Arab Society, trad. Michael Pallis (Londres : Zed Press, 1982), page 33 et Soraya Altorki, Women in Saudi Arabia: Ideology and Behavior among the Elite (New York : Columbia University Press, 1986), page 31.

505 Ibn Ishaq, Biography of the Messenger of God, cité dans McNeill et Waldman, The Islamic World, pages 16-17.

506 Minces, House of Obedience, pages 33-34. Pour un récit terrifiant du traitement des femmes dans les sociétés islamiques, cf. Jan Goodwin, Price of Honor: Muslim Women Lift the Veil of Silence on the Islamic World, pages 16-17.

507 Le professeur de psychologie de l'Université du Caire, Dr Yousy Abdel Mohsen, affirme qu'une froideur semblable dans la relation entre les hommes et les femmes des villes est à l'origine d'une multiplication du nombre de meurtres en Egypte au cours des années 1980, dans lesquels des femmes supprimaient leurs maris, les poignardant jusqu'à vingt fois ou les découpant en petits morceaux « pour s'en débarrasser facilement » (Alan Cowell, « Egypt's Pain: Wives Killing Husbands », New York Times, 23 septembre 1989, page 4).


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