HRM-BULULU2
24,90 €

41 Voir Helena Cronin. The Ant and the Peacock. New York : Oxford University Press, 1991, pages 282-283 ; David P. Barash. Sociobiology and Behavior. New York : Elsevier Scientific, 1977, pages 70-75 ; et la déclaration brutale du généticien Lawrence Hurst selon laquelle les idées de Wynne-Edwards étaient tout simplement « fondamentalement fausses ». (Lawrence Hurst.


www.newscientist.com/ns/980912/review1.html. Janvier 1999. « You Scratch My Back » New Scientist 12 septembre 1998)


42 P. Ward et A. Zahavi. « The Importance of Certain Assemblages of Birds as 'Information-Centres' for Food Finding ». Ibis 115 (4), 1973, pages 517-534.


43 David Sloan Wilson. « Incorporating Group Selection into the Adaptationist Program: A Study Involving Human Decision Making ». Dans Evolutionary Social Psychology, éd. J. Simpson et D. Kendricks, pages 345-386.


* Invisible au microscope ordinaire (NdT).


44 The National Computational Science Alliance. Cosmos in a Computer.


www.ncsa.uiuc.edu/Cyberia/Cosmos/CosmosCompHome.html. Janvier 1999.


45 10'30 minutes, pour être précis. Alan H. Huth. The Inflationary Universe: The Quest for a New Theory of Cosmic Origins. Reading, Massachussetts : Addison-Wesley, 1997, page 93.


46 La résistance des atomes d'hélium est telle que, environ 14 milliards d'années plus tard, l'univers est encore constitué à 25% d'hélium.


47 La précision de l'adéquation entre la charge des protons et celle des électrons est remarquable. Le prix Nobel de biologie George Wald met en avant plusieurs faits totalement improbables. Un proton a une masse 1842 fois supérieure à celle d'un électron. Ce sont deux entités radicalement différentes. De plus, le proton est inégalement constitué de deux quarks chargés positivement et d'un quark chargé négativement. Quant à l'électron, il est constitué d'un seul minuscule lepton. Pourtant, la charge positive d'un proton correspond précisément à la charge négative d'un électron, et ce, que l'on fasse se rencontrer n'importe lesquels des millions et des millions de protons et d'électrons existants. Qui plus est le rapport est si précis que si seulement deux milliardièmes avaient été absents, la matière de cet Univers se serait envolé « en mille morceaux » avec une force bien supérieure à celle de la gravité. « En conséquence » conclut Wald, « nous n'aurions aucune galaxie ni aucune étoile, et pire encore, aucun physicien ».


48 Pour paraphraser Yeats.


* Note JdL: Cette théorie fut énoncée par T.C. Chamberlin et F.R. Moulton. La théorie des marées, qui, à son premier stade, a été appe­lée, théo­rie planétésimale, suppose qu'une étoile passa très près du Soleil. Une immense marée de matière solaire fut soule­vée vers l'étoile qui passait, arrachée au corps du Soleil, mais de­meura dans son domaine ; et c'est de cette matière que furent formées les planè­tes. D'après la théorie planétésimale, la masse ainsi arrachée se brisa en petits fragments, qui se condensèrent dans l'espace. Quelques-uns furent éjectés du système solaire, d'autres retombèrent sur le Soleil, et le reste tourna autour de lui, en vertu de la force de gravitation. Dans leur révolution sur des orbites très allongées, il s'agglomérèrent, arrondirent leurs orbites à la suite de collisions, et à la fin, formèrent les planètes avec leurs satellites. Note issue de « Mondes en Collision » de Velikovsky, 2003 Ed. Le Jardin des Livres.


49 Christian de Duve. « The Birth of Complex Cells ». Scientific American, avril 1996, page 52.


50 Eshel Ben-Jacob. Correspondance personnelle. 25 janvier 1999.


51 James A. Shapiro. « Thinking about Bacterial Populations as Multicellular Organisms ». Annual Review of Microbiology. Palo Alto, Californie : Annual Reviews, 1998, page 88.


52 Deux myxobactéries, par exemple, doivent d'abord avoir un contact physique avant d'être « motivées » pour vaquer à leurs occupations. En fait, avoir un contact physique avec autant d'autres bactéries que possible est plus important pour une bactérie que de se faufiler vers une source de nourriture. L. J. Shimkets. « Social and Developmental Biology of the Myxobacteria ». Microbiology Reviews, décembre 1990, pages 473-501 ; James A. Shapiro. « Thinking about Bacterial Population as Multicellular Organisms ». Annual Review of Microbiology, page 88. Il y a toujours la sexualité bactérienne, qui n'a rien d'un processus solitaire (C. Bernstein et H. Bernstein. « Sexual Communication ». Journal of Theoretical Biology, septembre 1997, pages 69-78.)


53 S. A. Sturdza. « Expansion Phenomena of Proteus Cultures. I. The Swarming Expansion ». Zentralblatt für Bakteriologie, décembre 1975, pages 505-530.


54 S. Esipov et J. A. Shapiro. « Kinetic Model of Proteus Mirabilis Swarm Colony Development ». Journal of Mathematical Biology 36, 1998, pages 249-263.


55 C. Allison et C. Hughes. « Bacterial Swarming: An example of Prokaryotic Differentiation and Multicellular Behaviour ». Science Progress, 75:298, 3ème et 4ème parties, 1991, pages 403-422.


56 R. M. Harshey. « Bees Aren't the Only Ones: Swarming in Gram'negative Bacteria ». Molecular Microbiology, mai 1994, pages 389-394.


57 O. Rauprich, M. Matsushita, C. J. Weijer, F. Siegert, S. E. Esipov et J. A Shapiro. « Periodic Phenomena in Proteus Mirabilis Swarm Colony Development. » Journal of Bacteriology, novembre 1996, pages 6525-6538 ; J. A. Shapiro. « The Significances of Bacterial Colony Patterns. » Bioessays.


58 R. M. Harshey. « Bees Aren't the Only Ones ». Molecular Microbiology, mai 1994, pages 389-394 ; S. Moens, K. Michiels, V. Keijers, F. Van Leuven et J. Vanderleyden. « Cloning, Sequencing, and Phenotypic Analysis of laf1, Encoding the Flagellin of the Lateral Flagella of Azospirillum Brasilense Sp7. » Journal of Bacteriology, octobre 1995, pages 5419-5426.


59 C. Allison et C. Hughes. « Bacterial Swarming ». Science Progress, pages 403-422.


60 E. O. Budrene et H. C. Berg. « Dynamics of Formation of Symmetrical Patterns by Chemotactic Bacteria ». Nature, 6 juillet 1995, pages 49-53 ; C. W. Douglas et K. A. Bisset. « Development of Concentric Zones in the Proteus Swarm Colony ». Journal of Medical Microbiology, novembre 1976, pages 497-500.


61 James A. Shapiro. « Bacteria as Multicellular Organisms ». Scientific American, juin 1988, pages 84 et 89.


62 D'autres bactéries modernes se contorsionnent et serpentent également. Les Eschericiach coli attendent un moment de faiblesse, puis font avancer de longues lignes de troupes des intestins d'un nouveau-né humain jusqu'à son rectum ou sa gorge. Et les aventurières avisées que sont les Salmonella abortusovis étendent leurs colonies en trois semaines des yeux au système de branchement sur la circulation des ganglions lymphatiques, puis établissent des têtes de pont dans le foie, la rate, les poumons et le cerveau. A. Pierro, H. K. Van Saene, S. C. Donnell, J. Hughes, C. Ewan, A. J. Nunn et D. A. Lloyd. « Microbial Translocation in Neonates and Infants Receiving Long-term Parenteral Nutrition ». Archives of Surgery, février 1996, pages 176-179 ; R. Sanchis, G. Abadie et P. Pardon. « Salmonella Abortusovis Experimental Infection Induced by the Conjunctival Route: Clinical, Serological and Bacteriological Study of the Dose Effect in Female Lambs ». Veterinary Research 26 :2, 1995, pages 73-80.


63 C. Allison, H. C. Lai, D. Gyri et C. Hughes. « Cell Differentiation of Proteus Mirabilis Is Initiated by Glutamine, a Specific Chemoattractant for Swarming Cells ». Molecular Microbiology, avril 1993, pages 53-60.


64 G. P. Salmond, B. W. Bycroft, G. S. Stewart et P. Williams. « The Bacterial 'Enigma': Cracking the Code of Cell-Cell Communication ». Molecular Microbiology, mai 1995, pages 615-624 ; R. E. Sicard. « Hormones, Neurosecretions, and Growth Factors as Signal Molecules for Intercellular Communication ». Developmental and Comparative Immunology, printemps 1986, pages 269-272 ; N. H. Hussain, M. Goodson et R. J. Rowbury. « Recent Advances in Biology: Intercellular Communication and Quorum Sensing in Micro-organisms ». Science Progress 81, 1ère partie (1998), pages 69-80.


65 J. Muñoz-Dorado et J. M. Arias. « The Social Behavior of Myxobacteria ». Microbiologia, décembre 1995, pages 429-438.


66 James A. Shapiro. « Thinking about Bacterial Populations as Multicellular Organisms ». Annual Review of Microbiology ; V. Norris et G. J. Hyland. « Do Bacteria Sing? Sonic Intercellular Communication between Bacteria May Reflect Electromagnetic Intracellular Communication Involving Coherent Collective Vibrational Modes That Could Integrate Enzyme Activities and Gene Expression ». Molecular Microbiology, mai 1997, pages 879-880.


67 K. M. Gray. « Intercellular Communication and Group Behavior in Bacteria ». Trends in Microbiology, mai 1997, pages 184-188.


68 A. J. Wolfe et H. C. Berg. « Migration of Bacteria in Semisolid Agar ». Proceedings of the National Academy of Sciences of the United-States of America, septembre 1989, pages 6973-6977.


69 Eshel Ben-Jacob, A. Tenenbaum, O. Shochet, I. Cohen, A. Czirók et T. Vicsek. « Generic Modeling of Cooperative Growth Patterns in Bacterial Colonies ». Nature 368 (1994), pages 46-49.


70 Les études d'Eshel Ben-Jacob sont de loin les plus sophistiquées menées sur les signaux que s'envoyaient les bactéries pour prévenir d'un danger ou d'une découverte (voir les articles de Ben-Jacob cités ci-dessus). Ce compte-rendu est basé sur les travaux de Ben-Jacob.


71 Michael B. Yarmolinsky. « Programmed Cell Death in Bacterial Populations », Science, 10 février 1995, pages 836-837 et page 837.


72 Richard Lipkin. « Bacterial: How Patterns Reveal Clues about Bacterial's Chemical Communication ». Science News, 4 mars 1995, page 137.


73 Eshel Ben-Jacob. Communication personnelle. 23 avril 1996 ; Eshel Ben-Jacob. Communication personnelle. 9 mai 1996.


74 Comme l'explique John Holland pionnier du développement de l'étude des systèmes adaptatifs complexes, la fusion des « comportements de divers ensembles d'agents » engendre des « capacités collectives » bien supérieures à celle de tout individu. John H. Holland. Hidden Order: How Adaptative Builds Complexity. New York, Addison-Wesley, 1995, page 31.


75 Cray Research : firme américaine fondée en 1972 par Seymour Cray et conceptrice, en 1976, de Cray 1, le plus puissant ordinateur jamais construit au monde. Fujitsu est le spécialiste japonais des supercalculateurs.


76 Voir, par exemple, J. A. Shapiro. « Genome Organization: Natural Genetic Engineering and Adaptative Mutation. » Trends in Genetics, mars1997, pages 98-104 ; J. A. Shapiro. « Natural Genetic Engineering in Evolution ». Genetica 86 1-3 (1992), pages 99-111.


77 Sorin Sonea et Maurice Panisset. A New Bacteriology. Boston : James and Bartlett, 1983 ; Sorin Sonea. « The Global Organism: A New View of Bacteria ». The Sciences, juillet/août 1988, pages 38-45 ; Lynn Margulis et Dorian Sagan. Microcosmos: Four Billion Years of Microbial Evolution. New York : Summit Books, 1986.


78 Didier Mazel, Broderick Dychinco, Vera A. Webb et Julian Davies. « A Distinctive Class of Integron in the Vibrio Cholerae Genome ». Science, 24 avril 1998, pages 605-608 ; Elizabeth Pennisi. « Versatile Gene Uptake System Found in Cholera Bacterium ». Science, 24 avril 1998, pages 521-522.


79 J. William Schopf. « Microfossils of the Early Archean Apex Chert: New Evidence of the Antiquity of Life ». Science, 30 avril 1993, pages 640-646.


80 Karen Wright. « When Life Was Odd ». Discover, mars 1997, page 53.


VOUS DEVEZ LIRE LE LIVRE DE HOWARD BLOOM